Sais-tu, j’haïs pas ça pantoute cette façon de faire. Je publie moins souvent et j’ai cessé de me casser la tête pour tricoter mes billets. …
Love medicine · Ligne brisée · L’épidémie de VHS

blogue · littéraire
Sais-tu, j’haïs pas ça pantoute cette façon de faire. Je publie moins souvent et j’ai cessé de me casser la tête pour tricoter mes billets. …
Je poursuis mon désembourbement côté rédaction de billets. Me v’la la tête presque sortie de l’eau.
Après notre lecture commune de Un homme presque parfait, nous avons décidé de remettre ça avec Richard Russo. Sachant que À malin, malin et demi était la suite de Un homme presque parfait, j’ai sauté sur l’occasion pour retourner à North Bath.
Ce qui me fascine le plus, avec Richard Krawiec, c’est sa capacité à habiter chacun de ses personnages pour explorer leurs tourments, leurs doutes, mais …
On peux-tu se dire les vraies affaires? Lire un roman de David Vann n’est jamais une source de réjouissance.
Barry Cohen a une vie que plusieurs pourraient trouver enviable. Ce gestionnaire de fonds spéculatifs de quarante-trois ans, multimillionnaire, vit dans une luxueuse tour de Manhattan avec sa femme indienne de vingt-neuf ans et leur fils de trois ans. Sans oublier la nounou philippine!
Je fais rarement des lectures communes. J’ai horreur des contraintes, surtout lorsque le temps est en jeu. Mais v’la-t’y pas que Ingannmic et Autist Reading ont lancé l’idée de lire un roman de Richard Russo.
Quand je lis un roman de Joyce Carol Oates, j’ai toujours l’impression de prendre le pouls de l’Amérique, d’avoir une vue d’ensemble sur ses côtés les plus sombres.
C’est avec Raconte-moi la fin que j’ai découvert Valeria Luiselli. Dans cet essai marquant, elle partageait son expérience de traductrice bénévole auprès de jeunes migrants sud-américains.
Je n’en dirai pas trop. Juste un peu. De toute façon, l’intrigue de Ici n’est plus ici est quasi impossible à résumer.