Ça n’a juste pas de bon sens, cette histoire. C’est révoltant, traumatisant et… infiniment éclairant. Ce sont les billets de Fanny et de Céline qui m’ont convaincu de lire ces Raisons obscures.
Raisons obscures · Amélie Antoine

blogue · littéraire
Ça n’a juste pas de bon sens, cette histoire. C’est révoltant, traumatisant et… infiniment éclairant. Ce sont les billets de Fanny et de Céline qui m’ont convaincu de lire ces Raisons obscures.
Rien ne me disposait à m’arrêter du côté de ce roman français. Un roman ancré dans le milieu du travail, celui des assurances, qui plus est. Une triste histoire de femme qui dégringole. Rien pour m’intéresser.
S’il y a quelqu’un qui n’était pas bien disposé à lire un roman au titre doudou d’un auteur belge, c’était moi.
Enfin, un roman inuit écrit par une Inuite.
Elle, elle a dix ans en 1975. Elle vit au Nunavut, dans une petite communauté de mille deux cents âmes. Plus tard, elle aura dix-sept ans, en 1982.
Guédalia, un Inuit dans la jeune vingtaine, étudiait à Montréal et était promis à un bel avenir, jusqu’à ce que sa vie se mette à dérailler.
Ordinary People. Des gens ordinaires. C’est bien ce dont il est question dans le troisième roman de l’anglo-nigériane Diana Evans.
En lisant tes billets, je me dis souvent: «Mmmmm, ça a l’air pas mal, ça. Il me tente bien, ce roman.» Je note son titre pour un autre tantôt.
Ali Smith n’est pas une inconnue pour moi. Si j’ai déjà rapidement feuilleté Hôtel Univers et Le fait est, je n’ai jamais sauté le pas.
À peine un mois s’est écoulé depuis que j’ai lu mon premier roman de Jean-Paul Dubois.
Lire un roman de Max Porter est toujours une expérience en soi.